Que de souvenirs à l’écoute de ce disque…Il date de 74, mais à chaque audition c’est le même charme qui opère. Tant de mots ont défilé sur le papier en l’écoutant. Alain le grand nostalgique des 70’s, se sent bien loin ce soir de toutes ces images merveilleuses d’une adolescence à la fois frustrée et débridée. Combien de rêves se sont matérialisés au son de la voix de ce cher Peter Gabriel, cet ange abandonné par ses fans lorsqu’il voulu voler de ses propres ailes. Ce soir, une fois de plus, mon imagination m’élève au-delà des cauchemars qui peuplent ma Vie et me fatiguent. Comme il y a 30 ans je retiens des larmes qui auraient toute leur raison de couler…et je laisse la musique aller, aller ….Ce sont quelques visages aimés et laissés à leur destin, ce sont des moments de solitudes insondables, inexprimables, incurables…Ce sont des trahisons impardonnables, inimaginables…Qu’il est fatiguant ce nébuleux passé
Commentaires