Allez comprendre quelque chose…Alors que j’étais prêt à faire opérer mon PC, certain qu’un virus malin se tortillait depuis 1 mois dans les entrailles électroniques de la « boîte à stress », voici que depuis notre retour du Nord, lundi soir, tout fonctionne à merveille ! Peut-être qu’il avait besoin d’un peu de repos, ce gros paresseux. Ou peut-être un petit lutin est venu s’asseoir durant une paire d’heures devant l’écran et avec un peu de poudre de perlimpinpin, a-t-il solutionné mes problèmes existentiels. Je l’imagine bien ce Gremlins, s’esclaffant et sautillant devant ce qui paraît pour nous une fin du monde, je veux parler du trou noir de notre méconnaissance informatique. Toujours est-il que tout est rentré dans l’ordre, et que, comme il se doit, je vais encore un peu angoisser à l’ouverture du PC durant quelques jours, craignant une recrudescence d’une non-panne imprévisible.
Mis à part ce petit interlude virtuel, notre rapide aller retour vers le Nord le week-end dernier s’est bien déroulé. Ces fêtes religieuses, même si on n’épouse pas leur légitimité, ont ceci de précieux qu’elles permettent de réunir famille et amis pour des retrouvailles que l’on aimerait plus longues. Le temps de quelques franches rigolades et de souvenirs de peine et de joie et voilà déjà le retour qui s’annonce. On se quitte en se disant « à bientôt », pensant aux futurs évènements qui s’annoncent et qui marquent ainsi notre vie, la jalonnant de repères sur lesquels un jour, la mémoire défaillant un peu, on s’appuie pour mieux mesurer la distance. Il ne s’agit pas de sombrer dans la nostalgie. Il s’agit de savoir où on se situe. Alors vous me direz, suffit pas de fêter la communion du gamin pour faire la fête, suffit de s’appeler et se donner rendez-vous pour une occasion quelconque. J’ai dis quelconque. Franchement, je tenterai pas l’expérience.
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