Mal de dents, mal d’amour. C’est ce que disait toujours ma mère lorsque je me plaignais un peu trop à son goût. J’ai pris un rendez-vous pour vendredi prochain, en annulant celui de lundi, vu mon nouveau job. Et en attendant, pour soulager cette gêne permanente, j’ai pris des anti-douleurs sans trop savoir à quoi ils correspondaient. Hier matin je me suis levé avec un mal de tête insupportable et des envies de vomir à ne pas tenir debout. Mais je me suis rendu à ce nouveau boulot, mettant de côté cette indisposition mal venue. Voyant que mon état physique ne permettait pas un travail en toute sécurité, ni très productif, mon responsable m’a renvoyé chez moi, en espérant que mon état de santé s’améliore pour aujourd’hui. Je suis donc rentré en milieu d’après-midi et je me suis couché, avalant deux litres d’eau cette nuit, pour laver cet organisme mis à mal par mon imprudence médicamenteuse. Ce matin, je me sens en pleine forme, prêt à aller bosser, à moins que mon employeur ne retienne contre moi des sentiments qui n’existent pas du style : « Eh bien celui là, au bout de trois jours déjà malade… ». Je n’ose y croire et préfère penser qu’en ce bas-monde il existe encore quelques patrons compatissants.
Mais allez savoir. Quant on voit avec quelle rapidité les effectifs se modifient dans les ateliers, on se dit qu’être en bonne santé vaut parfois mieux que les diplômes que l’on indique, parfois de façon illusoire, sur les CV. Nous verrons bien. Pour l’instant ce nouveau job se passe bien et devrait déboucher sur quelques opportunités. Il me reste à patienter une semaine complète avec ce mal de dents, en espérant qu’il ne s’aggrave pas. Mais l’auto-médication c’est fini, mis à part l’aspirine les lendemains de fêtes !
Ci-joint un morceau que j’avais écrit avec les copains, quand j’étais chanteur !Téléchargement vitamines.mp3
Commentaires